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15 juin

Opinion: Pays, les plate-Formes numérique, disposition de la jeunesse haïtienne pendant la covid-19.

Pays, les plate-Formes numérique, disposition de la jeunesse haïtienne pendant la covid-19.

Au début, l’apparition du chaos du nouveau coronavirus, les jeunes haïtiens avaient déjà un penchant pour les réseaux sociaux, à savoir Facebook, Instagram, Twitter, Whatsapp et autres.
Ils restaient tous les jours à regarder, commenter et à faire des publications de toutes sortes, parmis lesquelles le buzz sur des stars ou des personnalités populaires

Après que l’Etat Haïtien a déclaré des cas positifs à la covid-19 dans pays, il a décrété l’Etat d’urgence sanitaire sur toute l’étendue du territoire nationale. Une décision qui augmentera la présence de la jeunesse encore plus sur ces plate-formes numériques, que l’on considère comme étant les nouveaux moyens de communication.

Elles propagent les informations à double vitesses. Est-ce que c’est un bon choix pour la jeunesse haïtienne?
Une jeunesse n’a aucun emploi, aux chômages, et qui néglige et abandonne la lecture pour consacrer la majeure partie de leurs temps à faire d’eux une autre personne.

D’une part, ce n’est pas une mauvaise chose puisqu’elle ne possède pas de grande chose et ne peut pas faire grande choses comme passer son temps, ce qui l’oblige à se créer quelques choses pour combler les soucis de confinement causer par la pandémie.

Cette situation permet aux artistes haïtiens de découvrir des autres moyens économiques, rentables pour leur profession en utilisant la toile à leurs avantages, sans pour autant enfreindre la distance sociale imposée par les autorités.

Par ailleurs, la venue de cette maladie créant d’autres opportunités économiques donne place à un nouvel ordre mondial d’où l’orientation de la jeunesse est majoritairement définie par les buzz, feuilleton en série, mini-série ect… Ceux qui poussent les jeunes à laisser la lecture pour s’orienter vers une autre personne,

Que pouvons nous faire pour sauver les jeunes qui restent, le peu qui avaient l’habitude de se concentrer ou consacrer à la l’éducation intellectuelle (lecture, idée intellectuelle)?

Sommes-nous prêts à changer le mode de vie tout à coup, dans un monde avec beaucoup plus d’exigences intellectuelles?

Ce sont des questions à répondre pour l’avenir ou le post-pandémie parce que de tous les moyens, ces nouvelles habitudes ou mode de vie auront des conséquences, que nous devons nous préparer à faire face.

Jean Elman CLERVEAU

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