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Tariq Panja, journaliste de New York Times, vole au secours de son ami Ed Aarons du journal The Guardian, en reprenant les accusations sans fondements contre Dadou

Plus de 20 jours après la sortie de l’article du journal britannique The Guardian, accusant le président de la fédération haïtienne de football, Yves Jean-Bart « Dadou » d’avoir abusé sexuellement des footballeuses, le ‘’New York Times’’, célèbre quotidien américain a écrit pour la première fois sur ce scandale, sans toutefois rien apporter de concret, sinon reprendre les accusations sans fondement de The Guardian.

Les journaux européens, faut-il bien le rappeler, ont presque tous, repris les accusations de The Guardian contre Dadou Jean-Bart, quelques jours après la publication de l’article, sans rien, absolument rien ajouter, le Times, lui n’en parle que maintenant. Cela a tout l’air d’un coup de pouce de Tariq Panja à Ed Aarons son ami et coauteur des ragots colportés contre Yves Jean-Bart dans les colonnes de The Guardian.

Depuis le début de ce scandale, puisque c’est de cela qu’il s’agit, un scandale (accusation formulée à l’endroit de quelqu’un visant à salir son honneur pour le discréditer dans l’opinion publique et le forcer à se retirer pour s’y mettre à sa place) orchestré en Haïti, porté par The Guardian pour lui donner un semblant de crédibilité, aucune avancée n’a été faite, aucune victimes n’a porté plaintes. En d’autres termes nous sommes toujours au point 0, c’est-à-dire au stade du claironnement ; il a abusé, il a violé, il a forcé, les victimes présumées déclarent, les victimes présumées reçoivent des menaces etc. un tissu de mensonge monté de toute pièce.

L’article du 30 avril du journal The Guardian sur les accusations sans fondement contre Yves Jean-Bart, porte la signature de Romain Molina, celui à qui on a confié la tâche, d’alimenter le scandale, Alex Cizmic et Ed Aarons. Ce dernier est un très bon ami de Tariq Panja, journaliste du New York Times qui n’a fait que reprendre les accusations d’abus sexuels contre Yves Jean Bart dans son article publié ce 22 mai ayant pour titre : « Un cas d’abus sexuel dans le football mondial met à nouveau la FIFA sous contrôle ».

Tariq Panja est un ami fidèle de Ed Aarons, ils sont toujours ensemble dans les conférences de presse, ils partagent des informations sur les transferts de joueurs dans le football et s’entraident quand le besoin se fait sentir. Donc, point besoin de vous dire que Tariq Panja, en reprenant les accusations d’abus sexuels sur mineures du journal The Guardian contre Yves Jean-Bart, veut relancer l’article du 30 avril qui jusqu’ici s’est révélé un tissu de mensonge. A l’instar de tous les journaux qui ont relayé ces accusations, le Times s’est contenté de répéter The Guardian, sans aucun souci d’établir la vérité.

Pourquoi est-ce que le New York Times n’en parle que maintenant ? Y-a-t-il des éléments nouveaux dans les accusations portées contre Dadou ?

Tariq Panja n’a fait que reprendre ce que l’on savait déjà. Par contre il nous apprend, puisque nous autres en Haïti on ne le savait pas que, Dadou a battu un concurrent pour obtenir son sixième mandat en tant que président du football haïtien ». On sait tous qu’il n’y a eu que Yves Jean-Bart comme candidat à sa propre succession.

Comment des journalistes, travaillant dans des medias pareils (respectés, prestigieux) peuvent descendre aussi bas pour faire le sale boulot d’un groupe de lâches en Haïti ? Quelqu’un qui n’a jamais rempli les conditions nécessaires pour être candidat, qui n’a jamais fait le dépôt des pièces exigées par la commission électorale de la FHF, donc qui ne figure pas dans les registres de la FHF, puisqu’il n’y avait que le cartel « En route vers le changement » du président actuel sur la liste électorale puisse avoir l’audace, la ruse pour se faire passer comme étant le seul adversaire d’Yves Jean-Bart, lors des dernières élections.

Nous avons l’impression que Romain Molina et ses alliés de The Guardian, Ed Aarons de The Guardian et son ami Tariq Panja du New York Times, veulent faire passer Dadou Jean-Bart pour le bourreau et ses détracteurs  pour les victimes.

La presse internationale ne s’intéresse pas à connaître  la vérité dans ce scandale, qui n’arrive pas à se transformer en dossier pour les besoins de l’enquête. Ce qui se passe aujourd’hui dans les médias étrangers sur les réseaux sociaux n’est autre qu’un moyen de manipulation de l’opinion publique. Le Journal The Guardian voulait aboutir à la démission de Dadou Jean-Bart en acceptant de publier sans aucune enquête sérieuse et surtout sans prendre en considération les réponses fournies par le président de la fédération à l’attention du journal relatives aux accusations à son encontre.

Encore cette semaine, avec les appels à la démission relayés par les journaux internationaux et l’agitation du scandale dans la presse haïtienne, il est clair que ce qui importe pour certains, ce n’est pas  que la lumière soit faite sur ce scandale, mais de voir Dadou Jean-Bart se retirer pour crier victoire.

Ce qui se passe aujourd’hui dans le football haïtien, que vous le croyez ou non est l’œuvre d’un groupe mafieux, voulant à n’importe quel prix de ruiner les grandes réalisations de la FHF.

Il faut comprendre que dans ce pays, il y a aujourd’hui une volonté manifeste d’anéantir Dadou Jean-Bart, qui symbolise la renaissance du football haïtien depuis l’instabilité de la décennie 90. Dadou, comme on veut le faire croire n’est pas un puissant, il n’a pas des bandits á sa solde, et toute sa vie, il s’est montré honnête et responsable. Donc il n’a rien à cacher.

C’est pourquoi, il a fait appel au RNDDH pour diligenter une enquête au ranch de la Croix des Bouquets, qu’il a répondu aux invitations du commissaire du gouvernent de la Croix des Bouquets, qui plus est, il a porté plainte pour que toute la lumière soit faite autour de ce dossier qui hante son sommeil.

Dadou ne fera pas honneur aux traitres de la patrie, il ne reculera devant rien, il ne démissionnera pas et la justice finira par triompher.

Le Times a pris son temps, mais malheureusement n’a pas su en faire bon usage. Tariq Panja s’est contenté de reprendre des déclarations fallacieuses de certaines personnes dépourvues de tout sens moral en Haïti. Comme son ami Ed Aarons, il fait mention de victimes présumées qui reçoivent des menaces. Qui sont-elles, ont-elles une identité? Jusque-là ce ne sont que des victimes fictives créées pour alimenter le scandale.

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