Haiti-La situation des enfants vulnérables dans les rues.
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La situation des enfants vulnérables dans les rues.
Les enfants en situation de rue vivent souvent coupés de leur famille et de leur communauté et n’ont peu ou plus d’adultes référents pour les aider à grandir et à se construire. Les mineurs en danger ou en risque de l’être. En raison de leur vulnérabilité, les enfants peuvent être victimes de maltraitance, de la pauvreté, de mauvaises conditions sanitaires et travaux .
Le champs- de mars représentente le plus grand espace d’accueil des enfants abandonnés. Cet endroit offre la liberté a l’égard des parents, des responsables de centres d’accueil, mais il n’en demeure pas moins vrai qu’une peur bleue surgit à chaque caprice de la nature car ils sont souvent la proie de toute sorte de maladie, d’abus , d’exploitation, de violences physiques et psychiques. Les fillettes elles sont victimes de viol de grossesses précoces, d’abus sexuels par les hommes mûrs en quête de chair juvénile. Selon Jean Marie Schinaida âgée de 15 ans.
En effet, la situation des enfants de la rue en Haïti se développe a un rythme vertigineusement profond surtout au niveau des grands centres d’accueil dans la capitale. Une telle situation est d’ordre économique et social et est très poussés dans certaines ville de provinces par exemple : Artibonite, Gonaïves, les enfants des rues sont appelés ” chokorat ” un mot signifiant ceux qui vivent dans les déchets en quête de récupération de la nourriture. Les enfants proviennent des familles en difficultés économiques, certains par contre, ont été abandonnés par leurs parents, d’autres ont perdu les parents à la suite d’un décès lié à la propagation du VIH/sida. En somme ,ils sont victimes de diverses situation telles que : abandon , violence , maladie , des cas de la violence sexuel et des cas de décès de leurs parents.
Diferents facteurs tels que la mauvaise gouvernance et crise de confiance des citoyens dans le gouvernement, la faim ,l’analphabétisme, la maladie, le manque d’affection, la violence ,etc.
La Directrice de la défense sociale Marie carmel Dejan et son assitance Hervé Vol y ont déclarent le 22 Mai 2020 qu’ en Haïti, 1 enfant sur 5 ne vit pas avec ses parents biologiques, 1 sur 10 est placé en domesticités. Le pays se situé au deuxième rang mondial pour les fléraux que sont le trafic et la traiter des enfants. L’objectif de maintenir les enfants au sein de leurs familles demande une approche constructive et de longterme, qui s’appuie en priorité sur les acteurs Haitiens. Pour madame Marie carmel Dejan la pandémie a jeté un coup de projecteur.sur les plusieurs de milliers d’orphelins dans la covid-19 qui laisse un vide dans leurs familles. Mais Haïti connaissait déjà une situation particulièrement alarmante en terme de séparation familiale.
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