La Centrale Nationale des Ouvriers Haïtiens (CNOAH)) demande au président Jovenel Moïse de remettre sa démission pour aller répondre aux questions de la justice.
Dans une note de presse publiée ce vendredi 01 janvier 2021, la CNOAH rappelle que la fin d’année dernière a été marquée par une légitime colère exprimée par le mouvement des différentes secteurs, ouvrières et ouvriers, les organisations syndicales, progressistes politiques etc..contre le pouvoir sanguinaire du régime PHTK à la tête du pays resté attachés aux systèmes oligarchies pourries haïtienne sans conscience.
« Cette mobilisation, qui se poursuit malgré le pouvoir PHTK ait gangstérisé le pays, habituellement le secteur des Ouvriers Haïtiens font des mouvements à travers les usines textiles, dans les rues en Haïti pour faire passer leurs revendications toujours bafouées par le secteur patronal haïtien avec la complicité du régime criminel du PHTK du Jovenel Moïse », peut-on lire dans cette note.
La Centrale Nationale des Ouvriers Haïtiens, engagée dans la lutte contre le système de l’exploitation de la classe ouvrière haïtienne, a obligé aux gouvernement illégitime à faire le recul, sur des actions antisyndicales, des massacres d’état dans différents quartiers populaires et des kidnappings d’État au jour le jour.
En réclamant la démission du chef de l’État à la tête du pays, la CNOAH souligne par ailleurs, que leurs principales revendications restent et demeurent : augmentation du salaire minimum à 1 500 gourdes pour une journée de travail de huit heures de temps sans augmentation de tarif et des mesures de la sécurité sociale dans le système de protection sociale, paiement des cotisations prélevées sur les salaires des ouvriers aux compagnies assurances de l’organe de sécurité sociale (l’ONA et OFATMA).
D’un autre côté, la CNOAH informe que « la masse exploitée, le peuple haïtien de tous les secteurs clés de la nation haïtienne est en train de préparer pendant le mois de janvier 2021 pour manifester contentement la fin de ce régime criminel et sanguinaire (madichon), qui laisse un mauvais goût dans nos langues.
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